Uber rend les routes plus sûres, mais pas à Londres

Le lancement d’Uber est associé à une réduction de neuf pour cent des blessures graves subies dans les accidents de la route, a trouvé une nouvelle étude académique – mais l’inverse est vrai à Londres, où Une montée des entorses et des ecchymoses soutenues dans les accidents est en corrélation avec le déploiement de l’entreprise de covoiturage.
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L’étude, une collaboration entre l’Université d’Oxford, l’Université de Bocconi et l’Université de California-Davis, a analysé les taux d’accidents de diverses villes au Royaume-Uni, et les a comparées à la date à laquelle Uber a été lancé dans ces villes, profitant de les «différences dans le moment du déploiement de l’Uber à travers la Grande-Bretagne».
• Uber vs Cabin Black Cab de Londres
Les chercheurs ont constaté que le déploiement d’Uber dans les villes britanniques est en corrélation avec «une réduction légèrement significative du nombre de blessures graves sur les accidents de la route (par exemple, fractures et blessures internes)».
L’article, publié en sciences sociales et médecine, dit qu’aucune corrélation significative n’a été trouvée entre la montée de l’Uber et le nombre d’accidents graves ou de décès, mais que à Londres, les taux de lésions légères des accidents de la circulation ont augmenté.
Les auteurs de l’étude postulent que la réduction des accidents en dehors de Londres peut être due aux conducteurs potentiels de boissons qui choisissent de ne pas prendre le volant. L’étude suggère que l’augmentation de Londres des blessures mineures à Londres, quant à elle, pourrait être due à une augmentation du nombre de voitures sur la route à Londres après le lancement d’Uber dans la capitale.
Le professeur de l’Université d’Oxford, Kirk, a déclaré: «Une interprétation de la baisse des lésions routières graves est que Uber peut être un substitut de transport aux conducteurs risqués, y compris les chauffeurs. Cependant, le ruine est également un substitut aux transports en commun, en particulier les bus, augmentant ainsi la congestion du trafic. »
Kirk a ajouté que lui et ses collègues voulaient maintenant étudier les taux d’accidents dans les villes où Uber avait perdu son permis de fonctionner. Cela pourrait bientôt avoir lieu à Londres, car Uber a perdu sa licence pour opérer dans la capitale vers la fin de l’année dernière – bien que cela soit actuellement en appel par l’entreprise.
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